Voici un de mes spots préférés pour les repas du midi gourmands et efficaces : Berko.
Il s’agit d’un salon de thé qui fournit une carte complète de bagels, cheesecakes & cupcakes.
Les Bagels
Chez Berko, pas de carte prédéfinie, elle s’arrange selon nos envies. Le principe est simple, c’est à nous de choisir les 2 ou 3 ingrédients principaux qui composent les bagels et on arrange le tout en cuisine. Attention cependant aux ingrédients et sauces surprises d’autant plus que le chef n’est pas très flexible dans ses recettes et oublie parfois les demandes particulières.
Mon bagel préféré, c’est le dinde/bacon avec son pain aux graines de pavot : un vrai régal !
Les cupcakes
La vitrine de cupcakes est vraiment très alléchante et leurs tarifs (2€ l’unité) permet de se faire plaisir sans exploser le budget.
Les cheesecakes
Alors là, je craque complètement. Les parts ont beau être TRÈS copieuses, je les déguste avec toujours autant d’appétit. Je n’ai pas testé toutes les saveurs mais je vous recommande grandement les cheesecakes caramel beurre salé & chocolat blanc framboises : magiques !
Infos pas futiles
Berko, 23 rue Rambuteau 75004 Paris
Il existe trois autres adresses que je n’ai pas eu l’occasion d’essayer : 31 Rue Lepic dans le 18ème, Centre Commercial Les Quatre Temps à La Défense et Centre Commercial So Ouest de Levallois.
Menu Bagel (avec accompagnement, boisson & dessert -supplément pour le cheesecake) : 9,80€
Franken ? Bah oui, comme le petit nom de Frankenstein. Grosso modo, le Franken c’est le vernis qu’on fait soi même à partir de tout plein d’autres trucs (fards à paupières, pigments & mélange d’autres vernis).
C’est vraiment ludique et faut pas être archi-douée pour faire quelque chose de potable. Le mot d’ordre est vraiment de laisser libre court à son imagination !
Il y a quelques temps, lorsque je pensais pouvoir développer facilement le talent de self-maquilleuse j’me suis risquée à commander des samples de pigments Mac sur The Body Needs… pour ne jamais les utiliser. Aujourd’hui je suis ravie de ce relatif investissement car c’est avec ces pigments que j’ai réalisé mon premier franken.
La recette
Un vernis transparent + des pigments + un petit entonnoir (un bout de papier fait bien l’affaire).
Bien mélanger le tout avec force et appliquer. Ne pas hésiter à remettre des pigments/paillettes si l’effet désiré n’est pas encore là (mieux vaut avoir la main légère que trop lourde).
Résultat
Le résultat est vraiment trèèès sympa, assez proche de ce que j’avais en tête et la pause est assez facile même si le vernis est peu fluide (j’ai surement dû mettre un chouïa trop de pigments).
Bon, par contre, après repos du vernis, toutes les paillettes sont retombées et étaient très difficiles à faire bouger. Il faut juste que je m’achète des billes à mélanger en inox et ça sera parfait !
J’entends beaucoup parler positivement de la marque Lush mais, n’ayant jamais testé ses produits, j’étais assez mitigée. Lush a de vraies valeurs que je partage (écolo, handmade, etc.) mais je trouve parfois sa manière de communiquer un peu agressive voir maladroite.
Hier soir je suis allée tester une nouvelle gamme de produits : ‘les couleurs fraîches faites main’ et je dois bien l’avouer, elles sont vraiment canons.
Voici les fards à paupières / liners composés de quelques duo-chromes mâââgnifiques :
Et les rouges à lèvres / blush qui ne sont rien d’autre que le super baume (best seller de la marque) associé à des pigments de folie :
Bon, ok, Lush lance une gamme de maquillage, so what ? Et bien, ça ne s’arrête pas là ! Parce que chez Lush on ne parle pas de maquillage mais de couleurs fraîches faites main. La différence ? C’est qu’il y a un gros concept derrière.
Emotional Brillance
Oui, on parle ici d’émotions. Ainsi, dans les magasins Lush et sur l’eshop, on peut trouver une roue des couleurs. L’idée est simple : la faire tourner, dès qu’elle s’arrête on choisit les 3 couleurs qui nous sautent aux yeux. Ces dernières sont associées à des émotions fortes et vont nous révéler ce dont nous avons inconsciemment besoin à cet instant.
Voici mes résultats :
D’après cette roue, ma force c’est d’être aux commandes, mon inconscient désire mener et mon talent pour y arriver c’est le calme. Franchement, c’est pas totalement faux mais peut-être que j’aurai dit également ça des autres émotions.
Bon, j’suis pas certaine que ça révolutionne notre vie chaque matin mais je suis assez fan du côté auto-persuasion du make-up pour impulser sa journée.
J’ai également testé ‘Focus’, un gris à reflets légèrement verts et un rose sublime qui me faisait vraiment de l’oeil, ‘Croire’ me semble-t-il.
Infos pas futiles
Rouges à lèvres / blush & eye liners / ombres à paupières : 17,95€
D’autres produits makeup viennent également de faire leur apparition : Mascara, Bases de teint & Poudre libre sont à 14,95€
Ils sont tous disponibles en magasins mais aussi sur l’eshop de Lush : fr.lush.eu
Merci à la charmante vendeuse Leïla de m’avoir aussi bien renseignée 🙂
Aujourd’hui je vais vous faire un peu du réchauffé mais disons que j’ai ouvert LaFilleFutile.com la dernière semaine de cette expo… Les boules de pas vous en parler quoi !
Début juin, je suis allée à Londres pour l’anniversaire de l’amoureux – ouais, je suis douée pour les cadeaux cool qui me font presque plus plaisir qu’à la personne à qui je les offre ^^. Bref, c’était chouette, c’était le jubilé, c’était blindé mais c’était surtout trop bien. On avait eu le plaisir de visiter les incontournables de la capitale anglaise deux ans auparavant et le Design Museum en faisait parti. Autant vous dire qu’aller à Londres ça me faisait déjà grave plaisir mais quand j’ai su que le Dieu de la pompe -Loubi pour les intimes- s’était associé à un de mes musées préférés pour une expo de ses créations, j’étais au bord de l’hystérie. Cette expo était organisée à l’occasion des 20 ans de la marque et j’ai pu me rendre compte que certains modèles avaient pris un coup de vieux mais que la plupart était encore hautement désirables.
Le Design Museum ne permettait pas de prendre de photo pendant l’expo, ni d’essayer de toucher les modèles exposés… Comme je suis un peu rebelle dans l’âme, j’me suis fait un mini kiff en sortant l’iPhone avant un “NO PHOTO PLEAAAAAASE” *grillée*.
Cette expo permettait de revenir sur le travail du créateur au travers de ses différentes créations mais aussi sur leur processus de fabrication (handmade in Italy), étape par étape comme si on y était. Nous avons également pu découvrir sa collaboration avec le cinéaste & photographe David Lynch pour la série ‘fetish’ composées de “chaussures de torture” dont les photos ont été exposées à la Galerie du Passage, juste à côté de la boutique historique de la marque dans le 1er arrondissement.
Monsieur Louboutin avait vu les choses en grand avec un hologramme 3D du plus bel effet :
Je suis repartie avec un magnifique poster et une planche de faux tatouages que je n’ose pas utiliser tellement ils sont collectors…
D’ailleurs, merci Betty pour cette photo d’illustration :
Infos pas futiles :
Pour toi, simple mortelle qui est déçue de ne pas avoir vu cette expo, Christian a pensé a toi et a sorti un livre qui reprend tout ce qu’il y avait dans l’expo -hormis l’effeuillage 3D de Dita Von Tease. Bon, par contre, prépares toi à casser ton PEL parce qu’il coûte tout de même pas loin de 100€. Perso j’ai eu masse de chance, en mutualisant mon anniversaire, Noël et mon plus beau regard de chaton, j’ai réussi à me le faire offrir. C’est un TRÈS bel objet !
Adepte des nouveaux concepts, j’ai testé hier soir ce ‘bar à geeks’ dont j’avais beaucoup entendu parler. Pour bien faire, j’y suis allée avec des amis geeks et non geeks histoire de voir un peu les ressentis de chacun.
Bon, je sais, c’est très à la mode de se dire geek. Je pense même qu’il y a plein de manières de penser la ‘geekitude’ mais je ne suis pas là pour vous faire une étude d’endo-anthropologie ^^
The place to geek
La devanture est plutôt sympa, la terrasse est de taille plus que correcte. L’exterieur est donc plutôt attirant.
L’intérieur n’est pas en reste avec un bel espace sur plusieurs niveaux et une ludothèque très bien fournie.
J’ai beaucoup aimé la déco atypique et le compte à rebours des secondes qu’il nous reste hypothétiquement à vivre.
Pourquoi j’y vais ?
1- Pour découvrir ce concept vraiment sympa qui s’affiche des noms des cocktails jusque dans les toilettes. 2- Parce que le wifi gratuit est toujours quelque chose de cool. 3-Aussi pour la terrasse, qui n’est certes pas en plein soleil mais qui a le mérite d’être dans une rue pas très passante et juste à coté de la bouche de métro.
Pourquoi j’y retourne pas forcément ?
1- Parce que je ne pense pas être assez geek pour apprécier tous les services proposés. 2-Parce que je ne suis pas forcément à mon aise entourée d’hommes déguisés en pirate. 3- Parce que c’est galère pour chopper 6 places à 19h30 même en début de semaine. 4- Parce que le service est über long, rançon du succès… 5- Et surtout parce que c’est cher (12€ le Poison Ivy – sorte de Mojito en un peu plus sucré) et qu’il y a pas d’Happy Hour *tristesse*.
Pour conclure, je vous recommande chaudement Le Dernier bar avant la fin du monde si vous êtes fans des jeux de rôles, des cosplays, de la chaîne Nolife et de l’univers Fantasy. Si vous ne l’êtes pas, je pense que ça vaut le coup de l’essayer une fois et basta !
Infos pas futiles
19, Rue Victoria 75001 Paris (Si t’as un phone sous Android, méfies-toi de la map’ qui va t’indiquer la mauvaise direction 😉 )
Il est possible de privatiser le sous-sol, c’était d’ailleurs le cas quand j’y suis allée.
2012 est pour moi l’année des bébés. C’est simple, TOUS mes proches en couple et installés dans leurs vies pro’ vont devenir parents prochainement. Alors, moi qui d’habitude ne fréquente absolument pas les bébés, je dois me mettre doucement au courant des marques sympas et des idées cadeaux cools à faire.
Mais mieux que de simplement sortir la CB, je préfère mettre un peu de mon temps pour faire moi-même un petit cadeau. Je trouve que ça a tout de suite beaucoup plus de valeur et j’aime ces moments où je me ‘donne’ pour ce bébé arrive.
Il est plein de petits modèles trop meugnons mais pas vraiment accessibles aux novices (si c’est votre cas, je vous conseille plutôt ce catalogue-ci 🙂 ). En général, je trouve que Phildar a une image moins ‘mémère’ que son concurrent Bergère de France, la qualité des fils est vraiment très bonne et il y a une vraie envie de plaire à toutes les générations de tricoteurs : j’adhère !
J’ai beaucoup aimé ce petit sweat à capuche et me suis donné pour objectif de le finir avant l’arrivée de son futur propriétaire. J’suis vraiment contente du résultat et j’ai même 3 semaines d’avance *fière* 😉
Il y a aussi cette petite paire de chaussons trop MimiToutPlein que je pense offrir à toutes les petites filles qui arrivent.
En 2 soirées, c’est fait ! Ils ne sont pas très difficiles à réaliser car les instructions sont vraiment bien faites et claires. En plus, il ne faut pas beaucoup de matériel : deux aiguilles de 2,5 et une pelote de laine/coton toute douce suffisent.
Tadaaaaam :
Suis pas mal contente aussi de cette réalisation !
Mon prochain objectif, cette petite robe mais d’une autre couleur (première LBD ?)
Bon, qui m’annonce l’arrivée d’une fille dans quelques mois ? J’ai les aiguilles qui me chatouillent ! 😉
Bon aujourd’hui c’est le 20 juillet, et le 20 juillet il y a quoi ?!! (Non, toi là-bas ne commences pas à me dire que c’est ce soir que tu pars en vacances de ouf pour 3 semaines, je ne parle pas de ça !) Et bien c’est la sortie de la palette YSL Devoted to Fans dont je vous parlais il y a quelques jours. Je me suis faite leurrer par le beau Pete Cashmore qui avait annoncé sa sortie pour le 19 mais bon, je ne lui en veux pas de s’être un peu emballé 😉
Dès qu’YSL a annoncé officiellement le jour de la sortie, je pensais que l’app Facebook pour acheter la palette allait être en ligne à 9h, début de journée quoi. Et bien non, la vente a débuté à 8h, c’est-à-dire pile entre mon brossage de dents et ma tentative de chignon… La loose !
J’arrive donc au bureau à 9h, m’empresse d’aller checker la page, me rends compte que c’est surement trop tard mais le tente quand même (bah oui, 50€ la palette ça peut en décourager certaines, non ?). Je mets la palette dans mon panier et là on m’anonce que c’est bon, je fais parti des 50 premières (#OMFG me dis-je au même moment- oui, je me parle en hastag). Je valide donc mon panier, rentre mes informations de paiement et là, c’est le drame : “une erreur est survenue lors de votre paiement… blablabla… ne peut aboutir… blablabla…”. Après deux tentatives identiques, je pleure, je cris, je me roule par terre, je balance tout dans l’open space. Enfin, ça, c’était juste dans ma tête, en vrai j’étais juste un chouïa déçue mais consciente que j’avais peu de chance la réellement pouvoir mettre la main dessus.
Mais voilà, (vous noterez les nombreux rebondissements dans cette histoire de palette quand même !) je retourne sur la page YSL juste après la pause déjeuner (nan, mais en vrai je travaille aussi des fois hein!) et là stupéfaction (ah, toi aussi tu as remarqué que j’abuse des parenthèses dans cet article ?) :
Ce qui veut dire que j’ai lutté ce matin pour avoir une palette qui n’était en réalité vendue qu’à 50 exemplaires – certes numérotés mais #WhoCares ?
Donc oui, je me suis inscrite sur cette f*ckin’ liste d’attente et oui, je patiente jusqu’au 3 septembre bien gentiment sans avoir la certitude de la per-cho. J’ai l’étrange sentiment qu’on ne va pas tarder à en reparler 🙂
Après les clips pour booster votre shoesing, je souhaite vous parler aujourd’hui de quelque chose qui me tient particulièrement à coeur. Si un jour j’ai l’occasion de monter ma boite, c’est exactement ce genre de concept que je veux développer ! Il s’agit des services de personnalisation des chaussures.
Depuis quelques années, je vois ces sites apparaître tout doucement et, en tant qu’amatrice de belles pompes, ça me fait VRAIMENT plaisir. Je trouve que c’est toujours chouette d’avoir l’occasion de se designer une paire de chaussures quasi-unique (pour un mariage par exemple ou juste pour le fun).
Le principe est à peu de choses près toujours le même : vous choisissez la forme de base parmi quelques formes types, la hauteur du talon, les décorations, les matières, les couleurs, etc. et rien que pour jouer à dessinons la mode 2.0 ça vaut le coup 😉
Je vous propose donc un petit listing du mieux de ce qui se fait sur la toile et ailleurs. Tentées ? C’est parti !
Shoes of Prey
C’est le premier site du genre que j’ai découvert et il est vraiment bien fait. Les 16 formes de chaussures à personnaliser sont vraiment sympas, il y a un bon choix de couleurs et de matières ce qui ne gâche rien. La marque propose un service très pratique si on a besoin de tester la qualité du cuir et le rendu des matières avant de se lancer : pour 10€ vous pouvez recevoir 5 échantillons afin d’être sûres de faire le bon choix, pas mal non ?
Je suis littéralement facinée par le processus de fabrication de leurs chaussures :
Infos pas futiles : www.shoesofprey.fr // Comptez 200€ pour une paire d’escarpins.
Milk & Honey
J’ai découvert cette marque via les Facebook Ads – mais si, vous savez, ces petites publicités à droite de l’écran qui ciblent pile poil ce que vous aimez. J’avais cliqué un peu par hasard, pensant me retrouver sur un site foireux de contrefaçon de chaussures de luxe. Et là, grosse surprise, le site est top, il n’y a que 5 modèles de base mais personnalisables à souhait. De belles matières, de beaux designs… Le seul soucis se place au niveau des tarifs : ça peut passer du simple au double juste par le choix des matières, il faut donc rester vigilantes sur le compteur ! La galerie des modèles déjà réalisés nous donne un bon aperçu des possibilités qu’offre ce site.
Anciennement ID by Me, c’est un site français qui commence à se développer outre-manche. On en entend régulièrement parlé sur la blogo française grâce à de jolies opé’ avec des blogueurs mode. On y trouve pas beaucoup de modèles différents (3 bases) mais ils ont l’air tellement confortables qu’on leur pardonne presque ^^.
Les tarifs aussi sont beaucoup plus doux que les deux sites précédents (moitié moins cher, sans compter les codes promos réguliers et les soldes). Je suppose également qu’avoir le SAV en France doit vraiment aider en cas de litige lors d’une commande.
À noter que ce site ne propose pas que la personnalisation des chaussures, vous pouvez également vous faire faire pleins d’autres basiques (femme et homme) à prix abordables.
Infos pas futiles :fr.moodbyme.com // Comptez au maximum 150€ pour une paire d’escarpins.
Alix de la Forest
C’est une petite startup que j’ai connu l’an passé lors d’un stage dans le même incubateur et je suis contente de la voir grandir.
Le principe est légèrement différent de ceux présentés précédemment car il ne s’agit pas d’un site avec une solution de personnalisation mais deux types de shopping :
– Sur l’eshop : une sélection des chaussures du mois (non personnalisables) est en vente.
– En réunion du type “tupperware” : si vous souhaitez découvrir les modèles avec vos amies, vous pouvez contactez la marque qui fera venir une ambassadrice chez vous ou vous rendre chez une hôte qui organise la réunion. Avec ce système pas de risque d’être déçues des matières ou des coupes des chaussures puisque dans ces réunions ont tâte le cuir, on essaie les modèles présents… Le tout dans la convivialité d’une soirée entre filles. Et si vous êtes celle qui accueille la réunion, vous touchez une prime sur les bénéfices des ventes de la soirée, pas mal, non ?!
Infos pas futiles :AlixdelaForest.com // Comptez 200 à 250€ pour une paire d’escarpins estampillés made in France.
Voilà, n’hésitez pas à me dire si j’ai oublié des sites – ce qui est plus que probable ! Ça me mettra en joie de découvrir de nouveaux concepts.
Et voilà, à peine 10 jours que j’ai ouvert ce blog et premier craquage pour une paire de chaussures !
Bon, je vous explique quand même la petite histoire. Je les avais repérées au début des soldes sur l’eshop Zara – onglet nouvelle collection *ahem*.
J’ai eu un vrai crush pour ces salomées de princesse mais j’ai préféré me laisser le temps de la reflexion avant de sortir la CB (90€ quand même). Je cherchais des salomées depuis un petit moment (et lorgner sur celles de ma super boss à longueur de journées, ça aide pas à calmer l’envie ^^). Je vous passe donc les 5 séances shopping à tenter de mettre la main dessus. J’étais sur-motivée pour les essayer et me rendre compte de la qualité des finitions IRL et “potentiellement” les prendre.
Hier soir, en sortant du travail je passe par hasard dans un tout petit Zara qui se trouve sur ma route, je les vois, les essaie, les aime d’amour, les prends et les contemple depuis. En fait, la vie est vraiment faite de bonheurs simples comme une paire d’escarpins bien coupés 🙂
Je dois vous confesser un nouvel aspect de ma personnalité : je suis accro aux manucures. Non non, je ne vais pas dans les bars à ongles tous les 3 jours même si j’adorerai (je n’y ai même, en réalité, jamais mis les pieds). Je suis accro dans le sens où -sauf cas de force majeure- je n’ai jamais les ongles nus, c’est plus fort que moi. J’aime les couleurs, les effets, les matières…
Pour vous donner une petite idée de mon état d’addiction :
Parmi mes marques préférées il y a Kiko, Sephora, China Glaze, O.P.I. & Essie. Je vous reparlerai prochainement des trois dernières d’ailleurs car j’ai un super plan pour les acheter à TRÈS bon prix ;).
Aujourd’hui je vais vous montrer une super méthode pour réaliser une manucure en 5 minutes chrono, séchage inclus : les patchs.
La première fois que j’en ai croisé c’était à Sephora. J’étais avec une copine un peu perplexe du résultat réel sur les ongles. Pour marquer le coup, j’ai choisi un motif un peu différent de ce dont j’ai l’habitude, j’ai bien lu les instructions et hop, je me suis lancée. Tadaaaam :
Je n”ai pas vraiment eu de difficultés à poser ces patchs mais j’ai peut-être choisi un motifs qui nécessitait un peu plus d’habilité. Certaines rayures ne sont pas tout à fait alignées avec celles des doigts voisins mais le côté bagnard était bien là et ça restait sympa quand même.
J’ai retenté l’expérience, toujours avec les patchs Sephora mais pour un effet un peu plus ‘graouh’ cette fois-ci et là, le résultat était juste PAR-FAIT !
J’ai maintenant toujours un paquet de patchs d’avance afin de pouvoir me dépanner lorsque je n’ai pas le temps de me faire une manucure classique (oui, accro je vous dis !).
Même si je n’ai pas encore eu l’occasion de tester leur qualité, j’aime beaucoup les ‘Nail Wraps’ de NCLA. L’univers graphique très différenciant de cette marque me parle beaucoup.
Bilan
Les nail patchs c’est bien parce que 1- c’est facile à poser ; 2- il n’y a pas de temps de séchage ; 3- ça tient vraiment bien, 4- on peut obtenir des motifs vraiment très sympas en 2 temps, 3 mouvements.
Mais ça reste limité car 1- les finitions sont pas toujours parfaites ; 2- les tarifs restent assez élevés (entre 7,9€ et 9€ chez Sephora et 16$ pour les NCLA) ; 3- il faut souvent passer un coup de top coat dès le 2ème jour de pose car le brillant s’estompe.
En gros, les patchs c’est vraiment pas mal de temps en temps pour faire des manucures sympas sans y mettre 3 plombes mais c’est pas le rapport qualité/prix de l’année.
Comme je vous l’ai déjà dit, j’ADORE les chaussures, c’est plus fort que moi. Mais bon, pour être honnête, j’ai beau en avoir une jolie collection, je tourne toujours avec les mêmes aux pieds.
J’ai découvert il y a quelques semaines le bon moyen pour booster mon shoesing avec des clips à chaussures über chouettes : Holala.
La marque a été fondée cette année par deux copines, Nora et Lora, l’une designer, l’autre graphiste. L’e-shop est actif depuis fin mai et propose 11 modèles de clips très graphiques et ludiques. Le pitch de la marque :
Nous aimons ce qui est joli, qui brille, qui est décalé, fantaisiste et drôle.
Notre idée fixe d’avoir de jolis pieds nous a amené à fabriquer une collection d’améliorations de chaussures pour celles qui n’ont pas les moyens de s’acheter dix-huit paires de Louboutins, mais qui aimeraient quand même exprimer toute leur excentricité jusqu’aux bouts de leurs doigts de pieds.
Renouez avec les chaussures oubliées que vous n’auriez plus jamais pensé porter, et promis, après minuit elles resteront toujours aussi jolies !
J’aime beaucoup l’univers de cette marque, sa manière de communiquer sur sa page Facebook, son Pinterest et son blog. Voici quelques-uns de mes modèles préférés – même si j’ai très sincèrement envie de toute la collection ^^ :
Tous les produits de la marque sont fait-main dans un atelier à Paris. Chaque paire de clips coute 18€, frais de port inclus.
J’ai pour habitude d’aller à la défense assez souvent, que ce soit pour le shopping ou juste pour le plaisir. Je suis fan de l’architecture du lieu, des buildings, de l’ambiance, etc.
Je trouve qu’il y a peu de choses plus agréables que de se poser pour manger un bon burger après avoir piétiné dans les magasins toute une matinée – particulièrement une journée de soldes. Quand je parle de burger, je ne parle pas McDo (même si ça fait très bien le taff) mais je vous parle d’un bon gros burger savoureux que l’on mange avec des couverts et ça, ça change tout !
J’ai eu l’occasion d’aller manger quelques fois au Moutarde Café et je trouve que le rapport qualité/prix est vraiment pas mal. La carte propose des tapas, des bagels, des salades, des burgers et quelques plats plus “classiques” et la qualité globale est vraiment respectable. L’ambiance de l’établissement reprend les codes du bistro avec quelques détails déco qui connotent les lofts New Yorkais. Le seul tout petit hic, il ne faut pas être trop pressé car le service est un chouïa long.
Infos pratiques :
Tarifs : compter environ 15€ le burger accompagné de sa salade & son cornet de frites ‘home made’.
Adresse : le Dôme – Centre Commercial Les 4 Temps, 92092 Paris
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